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EDITO....

 

 

 

Sac à Puces Opus 3... Je me sens obligé de le préciser aux troisième et quatrième années qui semblent être passés au travers : " Oui, il y a eu un numéro en Janvier... Mais il n’en reste plus! ". Je remercie d’ailleurs au passage les deuxième et première années qui nous ont prouvé leur intérêt le mois dernier, et j’espère que nous avons été, et que nous continuons à être, à la hauteur.

Ce mois-ci, pas de grands changements dans la forme: vous retrouverez vos quatre rubriques habituelles (on ne change pas une stratégie gagnante dit-on). Suite aux quelques remarques que nous avons eu, nous promettons de faire encore des efforts de présentation en essayant de soigner la qualité de l’impression (dur), et en aérant le plus possible (encore plus dur).

En ce qui concerne le fond, l’actualité micro-informatique est tellement riche en ce début d’année qu’il est de plus en plus difficile de choisir ce que nous devons absolument vous présenter (et toujours aussi dur, de tout faire tenir dans nos pages). Que ce soient le MMX, les DVD comme nous l’avons vu le mois dernier, et les concurrences acharnées entre développeurs, mais aussi entre constructeurs, on ne sait plus où donner de la tête...

J’espère que vous vous y retrouverez quand même... Bonne lecture!

 

O.Lantran

 

 

 

SommairE

 

 

 

 

Tendances.........p.2

 

Halte aux monopôles: défendons-nous

Internet en vrac......................................p.3

Netscape/Microsoft: les nouvelles du front

L’informatique en bourse

Intranet, Internet, qui sera vainqueur? .p.4

Altavista understands French

 

Matériel.........p.5

 

CD ROM & Co

Transfert de fichiers par infrarouge .....p.6

Leaf DCD II live et la maîtrise de la photo numérique

 

Le laser à portée de tous............................p.7

Une solution de sauvegarde très économique

Le clavier survivra-t-il à l’entrée vocale?

Lecteur Multi-plugger

 

Logiciels.........p.8

 

C’est quoi un shareware

Java pour un prix d’excellence

Reconnaissez vos CD ROM.......................p.9

 

HTML............p.9

 

 

 

 

TENDANCES

HALTE AUX MONOPOLES, défendons-nous !

Il est temps que cela cesse. Microsoft et Intel ont vraiment dépassé les bornes.

Nous savions déjà que ces deux géantes sociétés américaines s’étaient liguées. Leur objectif : se partager à elles seules le marché des logiciels et des processeurs. Ceci était en soi une aspiration des plus légitimes. Mais elles sont vite devenues les ennemis des utilisateurs de micro-informatique au fur et à mesure de leurs " dérapages ".

Tout d’abord, Microsoft s’est mis à " produire " des Operating Systems de plus en plus gourmands en ressources systèmes. Ceci dans le but de justifier l’achat de matériels toujours plus puissants (donc de processeurs) auprès de l’utilisateur moyen (celui qui utilise Word et Excel). Vous êtes-vous en effet déjà demandé à quoi était lié la différence de vitesse entre Windows 3.11 et W 95 ? Et au fait, en passant, ne pensez-vous pas qu’il est malhonnête de vendre des logiciels buggés ?

Ce petit dérapage a été profitable pour l’industrie de la micro. Ce qui nous a permis de disposer aujourd’hui de machines plus puissantes, très utiles pour le multimédia. Mais ce n’était que le début. Ensuite, l’Operating System, Windows NT, de Microsoft est prévu pour ne fonctionner correctement qu’avec les processeurs d’Intel. Cet acte sournois pénalise ainsi tous les possesseurs d’autres processeurs. Et cela incite les nouveaux acheteurs à faire l’acquisition d’un Pentium. Heureusement pour nous, NT est aux OS ce qu’une brouette est aux vraies voitures. Vous direz oui mais NT est très sûre. Evidemment, pour avoir un accident avec une brouette il faut vraiment le vouloir, et puis Microsoft ne peut pas toujours rater tout ce qu’il produit.

Et puis c’est au tour d’Intel. Déjà son Pentium n’est qu’un couplage de deux 486. Le nom a bien changé, mais l’architecture n’est pas repensée de manière globale. Puis voilà le MMX qui est juste un Pentium a qui on a enlevé une jambe pour remettre un troisième bras. Mais il y a de nouveaux dérapages : le MMX nécessite une carte mère différente, car il doit être alimenté en 2.9v au lieu de 3.3v. Sur une carte mère, il est généralement possible de modifier le voltage destiné au processeur. Mais seules quelques très récentes cartes offrent la possibilité d’un réglage à 2.9v ! Et ce n’est pas tout, le Klamath, futur bébé d’Intel, aura lui aussi besoin d’une nouvelle carte mère ! De qui se moque-t-on ? On se demande même la raison de la production du MMX, quand on sait que le Klamath devrait être distribué fin 97 ? Serait ce à cause des ventes des processeurs Cyrix qui augmentent ? Deux changements de carte mère successifs pour bloquer et couler Cyrix, c’est lamentable. Car c’est nous aussi qui en faisons les frais. De plus on peut s’interroger quant à l’architecture du Klamath. Que vont-ils nous pondre cette fois-ci ? Un peu plus de pattes par ci, un poil moins de cache par là, ou du cache externe tiens, une pincée de transistors pour équilibrer, et si on rajoutait les registres qu’on avait pas eu le temps de mettre la dernière fois ?

Cyrix, le concurrent direct, procède lui de manière tout à fait différente. C’est qu’il a beaucoup à prouver. Efforts sur les prix et les innovations technologiques. Cyrix fait mieux, plus rapide et moins cher (à fréquence d’horloge égale). Quand Cyrix construit un processeur, il repense son architecture. Et les P166+ et P200+ ne sont pas des 486 trafiqués, mais bien des processeurs nouveaux et optimisés. Le problème pour Cyrix, est de s’adapter aux instructions et spécifications d’Intel qui domine le marché. Cyrix doit s’aligner, ce qui bride sûrement la créativité de ses ingénieurs. En exagérant à peine, on pourrait dire que le monopole d’Intel nous empêche d’avoir de meilleurs processeurs ! Enfin, Cyrix a promis de réduire de manière importante la consommation d’énergie et la production de chaleur de ses processeurs.

Pour clore cette énumération de bêtises, tournons nous une dernière fois vers Microsoft. Le langage Java, développé chez Sun, devait être un langage universel capable de faire tourner n’importe quel logiciel sur n’importe quel OS. Une licence de Java a été achetée par Microsoft, qui l’a transformé en Java++. Les logiciels universels signeraient en effet tout simplement la mort de Microsoft.

Bon et maintenant, comment résister ? Face à ce monopole, tournons-nous vers les processeurs de Cyrix et de AMD présents sur le marché. De plus, les nouveaux CPU (qui contiendront les instructions MMX) de ces deux constructeurs, respectivement les futurs M2 et K6, sont très prometteurs. Quant aux OS, préférons les concurrents de Microsoft. Essayez Linux, une version Freeware (c’est à dire gratuite et légale) du système UNIX. Vous trouverez toujours quelqu’un à l’école (essayer le sous-sol de Vésale) pour vous aider à installer ce puissant OS. Vous pouvez aussi utiliser Internet pour le télécharger. Et enfin, préférez Netscape Navigator à Microsoft Explorer. Malheureusement Explorer sera intégré à W97 de manière à court-circuité Navigator.

Je conclurai en disant que tout monopole est dangereux dans le sens où aucune alternative n’est possible. La diversité du marché de l’offre et de la demande est la seule garantie en matière de choix, de qualité, de prix et plus généralement de LIBERTE.

M.-A. DARCHE, darche@hp1.esiea.fr

 

INTERNET EN VRAC

 

La bande dessinée à l’honneur

Depuis sa création, il y a plus d’un siècle, la BD n’a pas pris une seule ride, avec ses belles couleurs et ses bulles, elle nous fascine toujours autant. Plusieurs sites Web sont ainsi dédiés aux bandes dessinées, dont l’incontournable PLANETE BD, une sorte de musée de la bande dessinée européenne, il nous présente un historique des cents premières années de la BD, on y trouve tout un tas de renseignements très intéressant classés par auteurs, par thèmes... La présence d’une merveilleuse galerie des plus beaux albums ne font qu’embellir ce site, et on peut même trouver de superbes croquis inédits dessinés spécialement. Alors si vous êtes fan de BD, vous savez ce qui vous reste à faire...

ADRESSE (PlanèteBD): www.essi.fr/BD/

En cadeaux voilà encore deux adresses assez intéressantes

ADRESSE (l’artiste): www.bdparadisio.com

ADRESSE (le centenaire): www.imaginet.fr/bd

 

Les extra-terrestres envahissent nos écrans en passant par la " fenêtre "

Avis aux fans de Fox Mulder et Dana Scully, vous pouvez à présent les retrouver à chaque fois que vous allumerez votre machine, en effet un nouveau site X files vient d’apparaître, il est consacré au téléchargement de nouvelles icônes et autres économiseurs d’écran ou musiques inspirées de la série. Fini maintenant les icônes standards tristounettes de Windows 95, Scully et Mulder vont égailler tout ça.

ADRESSE: www.fit.edu/~bliccard/themesfr.htm

CINEMA

Cinéphiles, vous avez à présent votre site dédié à l’actualité et à l’histoire du cinéma, vous pouvez trouver des informations sur plus de 27000 films, il y a même un système de recherche, vous entrez un mot clé (en relation avec le film bien sûr...) et on vous donne une fiche complète avec le titre, l’auteur et surtout l’affiche du film.

ADRESSE:www.online.fr/cinefil

 

 

 

G.N.

 

Netscape/Microsoft: les nouvelles du front

Comme annoncé dans le numéro de décembre, la guerre entre Microsoft et Netscape continue! Après le pacte de non-agression consécutif aux fêtes de fin d’année (et surtout à la sortie des versions 3 de leurs navigateurs respectifs), Netscape décide de frapper vite et fort en sortant le premier la version bêta de son nouveau navigateur... Pardon, maintenant il faut dire communicateur. Et oui, Navigator fera dorénavant parti d’un ensemble plus vaste (Communicator, les plus perspicaces d’entre vous l’auront compris) permettant de jongler plus facilement entre gestion du courrier électronique, discussion en ligne, groupes de discussion... et incluant surtout un éditeur de pages Web.

Cependant, cette tentative de K.O. s’est faite au détriment de certains modules d’extension et se retrouve tout de même plus buggée que les versions bêta habituelles. Bien sûr le mois de mars devrait nous amener une nouvelle version résolvant tous ces problèmes. Mais d’ici là, où en sera Microsoft???

Réponse dans les mois qui viennent...

O.L.

L’INFORMATIQUE EN BOURSE

Investir dans l’informatique? Pourquoi pas? Mais il faut savoir que les souvenirs des tribulations de certaines firmes du secteur hantent les esprits de nombreux professionnels du marché. Dernièrement l’effondrement d’Infonie n’a pas rassuré. Pourtant, il existe des grandes valeurs informatiques à la Bourse de Paris. Dans la cour des grands, il y a Cap Gemini (l’ancien dénommé Cap Gemini Sogeti: CGS), Sligo ou encore Dassault Systèmes qui venu, solitaire, rejoindre les rangs l’année dernière.

Le marché français souffre de la trop grande importance de SSII (Société de Services en Ingénierie Informatique) par rapport aux constructeurs. Bien que les SSII soient très performantes, elles sont souvent de tailles modestes (enfin, tout est relatif ...) ce qui ne permet pas pour l’instant de classer leurs titres ailleurs que du côté des placements spéculatifs.

On note en 1996 une forte progression d’environ 12% sur l’ensemble du marché informatique. Mais cette performance est quelque peu trompeuse. En effet, les sociétés, même les plus grandes, ont dû faire face à des années de contre-performances. Et quand la valeur des titres est tombée à moins de cent francs, il n’est pas étonnant de la voir se redresser de façon spectaculaire.

Les chiffres sont-ils alors illusoires? Non répondent des analystes financiers qui pensent que l’informatique française est un marché en croissance bien qu’elle traverse en ce moment une période de restructuration. Affaire à suivre avec Dassault Systèmes le mois prochain

F.L.

 

Intranet, Internet, qui sera vainqueur?

 

Fin 1994, début 1995, constructeurs et éditeurs de logiciels se sont positionnés sur le marché naissant de l’Internet Grand Public. Mais les espoirs de marché se sont vite envolés. Pour cause, le coût et la non disponibilité de la bande passante ainsi que l’incertitude concernant la sécurité des données et des informations.

A l’aube de 1996, le mot Intranet n’existait pas et Internet faisait encore la une des journaux. Pourtant aujourd’hui, c’est Intranet qui règne en maître dans l’esprit des entreprises car Internet n’est plus autre chose qu’un réseau de réseaux... Il faut constater que le coût de l’équipement et d’utilisation est encore élevé pour les particuliers. C’est pourquoi on estime que les réseaux se développeront surtout pour des applications professionnelles.

Une petite présentation d’Intranet s’impose donc.

 

A la fin de l’année 1995, 22% des 1000 premiers groupes américains disposaient d’un réseau Intranet. On prévoit d’ici 1998 que la moitié des grandes entreprises du monde en seront dotées.

Intranet est un Internet privé avec en prime la sécurité. Une liaison avec l’extérieur est facultative mais généralement l’Intranet relie les sites de l’entreprise, ceux de ses clients ainsi que ceux de ses partenaires. Bien sûr, les échanges se font par Internet mais via un cable-opérateur privé (avec écran de protection): c’est le tunneling.

Web interne, Intranet est un outil facilitant l’accès à l’information dans une entreprise. La messagerie est sa première application mais sa vocation est un accès à toutes les ressources applications de l’entreprise: productions, comptabilité, marketing, datawarehouse... Cela permet entre autre une diminution du coût d’administration.

 

Sun microsystems estime que le rapport entre le marché de l’Internet et celui de l’Intranet est de l’ordre de 1 à 10 en faveur d’Intranet. En moins d’un an Intranet a-t-il supplanté son rival? Apparemment oui ...

F.L.

ALTAVISTA UNDERSTANDS FRENCH

 

Pour ceux qui ne le savent pas encore, le moteur de recherche AltaVista est disponible en français à l’adresse www.altavista.telia.com et procure un meilleur temps d’accès aux pauvres européens que nous sommes.

O.L.

SANDWICHERIE

LE BIENVENU

SANDWICHS PIZZAS COUSCOUS

 

SANDWICH à partir de 18f

PLAT CHAUD à partir de 22f

COUSCOUS à partir de 30f

PIZZA à partir de 25f

MATERIEL

CD ROM et Co

 

Il y a quelques années, avoir un CD ROM était un luxe, les entreprises hésitaient à s’équiper, l’utilité d’un CD ROM n’était pas évidente et le surcroît du coût non justifié. Mais aujourd’hui, la tentation est très grande, la majeure partie des nouveaux logiciels sort sous ce format, et le coût de l’installation est minime. On est passé du lecteur simple vitesse au lecteur 12x sans faire exploser les prix. Le lecteur 12x est tout à fait abordable. Mais une question surgit, est-il raisonnable de s’équiper d’un lecteur 12x si on possède déjà un lecteur de moindre vitesse?

En fait tout dépend de la nature de l’utilisation. En effet pour travailler, inutile de s’équiper du dernier modèle, les logiciels destinés au travail sont moins contraignants que les logiciels ludiques. Dans le monde du travail, on utilise essentiellement le lecteur C.D. pour installer les logiciels, ou consulter des encyclopédies. Les lecteurs à n vitesse ont une vitesse de rotation n fois plus grande que celle d’un lecteur de C.D. audio, ainsi un lecteur 8x tournera 8 fois plus vite qu’un lecteur audio. Toutefois la vitesse ne modifie que le temps du transfert, c’est dire la vitesse de transfert des données du lecteur vers l’unité centrale. La vitesse de base représente 150 Ko par seconde, les lecteurs 2x atteignent une vitesse de 300 Ko par seconde et ainsi de suite. Mais toutes ces vitesses ne sont que des vitesses de pointe, et ne concernent que les gros fichiers. Donc avoir un lecteur 12x n’est pas très utile en Bureautique, car dans ce domaine, on est amené à faire appel à des accès à de petites séquences d’information. Donc la tête de lecteur doit seulement se positionner très vite sur la piste qu’il doit lire et cela ne concerne pas du tout la vitesse du lecteur CDROM. Donc pour choisir son lecteur CD, il est plus judicieux de comparer les temps d’accès que la vitesse.

On vous propose alors 3 bons lecteurs pour travailler.

Le GOLDSTAR R-580B est le moins cher, il dispose d’un temps moyen d’accès de 150 ms, et c’est l’un des meilleurs lecteurs 8x à interface IDE pour les applications bureautiques. Son prix est imbattable: 600 F T.T.C.

Le plus pratique est le CDR A-43 de Sanyo, il n’est pas très rapide, c’est un lecteur 4x, mais dispose d’un temps d’accès de 250 ms, et il peut intégrer un chargeur de trois CD ROM. Son prix est aux alentours de 1100 F T.T.C.

Le compromis entre ces deux lecteurs est le 8PLEX de Plextor, il offre d’excellentes performances pour un prix encore raisonnable, il dispose d’un temps d’accès de 120 ms et c’est un lecteur 8x. Son prix est de 2000f T.T.C.

Pour le loisir, préférez la puissance, les logiciels ludiques intègrent souvent des séquences vidéo complètes, il faut alors posséder un lecteur très rapide pour exploiter au maximum le logiciel. De plus les fichiers transférés sont de très grande taille, le critère prépondérant devient alors la vitesse. Mais encore les vitesses annoncées plus haut ne sont que des vitesses de pointe, quand on utilise une interface Enhanced IDE (ou encore appelé ATAPI),le transfert s’interrompt de temps en temps selon l’occupation de l’unité centrale, ces interruptions peuvent devenir gênantes à la longue surtout lors des séquences vidéo. Les lecteurs 12x occupent en général 50% du processeur. Il paraît alors plus judicieux d’utiliser une interface SCSI-2 qui prend en charge un plus grand nombre d’opérations et soulage ainsi le processeur. On peut ainsi réduire l’occupation du processeur à 30%. Mais il faut aussi prendre en compte la mémoire tampon, celle ci stocke les données provenant du lecteur avant de les envoyer à l’unité centrale, ce qui permet d’amortir les variations de vitesse du lecteur. On vous conseille alors d’avoir au minimum une mémoire tampon de 128 Ko , mais 512 Ko serait mieux adapté au multimédia.

Nous vous conseillons alors le R-580B de Goldstar dont les caractéristiques sont citées plus haut. Si vous souhaitez à tout prix acquérir un lecteur 10x, optez pour le DRA-10X de Pioneer, son temps d’accès est de 110 ms et son prix est de 1000F. Mais si votre seul but est de jouer, prenez le 12 Plex TS de Plextor, c’est le lecteur idéal pour le multimédia, il est doté d’une interface SCSI-2, et offre 512 Ko de mémoire tampon, c’est un lecteur 12x dont le temps d’accès s’élève à 100 ms. Mais le prix reste encore très élevé, 2500F T.T.C.

Donc en résumé, pour choisir son lecteur CD, trois critères sont à examiner: la vitesse, le temps d’accès, et l’interface. Mais qu’en est il de la fiabilité? Car comme on l’avait mentionné plus haut, un lecteur CD ROM ne tourne pas à une vitesse constante Il faut que les données défilent à la même vitesse devant la tête de lecture. Or comme les pistes extérieures sont beaucoup plus longues que celles se situant près du centre, le lecteur doit modifier sa vitesse au gré des pistes, et ces variations peuvent être énormes sur un lecteur 12x (on peut passer de 1200 à 6000 tours par minutes). Ceci entraîne alors des contraintes mécaniques qui peuvent entraîner des pannes. Donc avant de se précipiter vers n’importe quel lecteur, vérifiez son MTBF (Mean Time Between Failures: temps moyen entre deux pannes), ce paramètre indique la fiabilité du lecteur, ce temps représentent la durée sous tension et non celle de l’usage effectif.

Vous pouvez maintenant choisir votre lecteur CD ROM, celui qui sera le mieux adapté pour vous.

 

 

 

 

Marque

Modèle

Vitesse

Note de rapidité

Temps d'accès

Taux de transf

CREATIVE LABS

CD-820E

8X

6,6

194ms

1254ko/s

GOLDSTAR

R-580B

8X

6,9

150ms

1229ko/s

GUILLEMOT

Maxi CDROM 8X

8X

7,3

179ms

1233ko/s

GUILLEMOT

Maxi CDROM 12X

12X

8

142ms

1851ko/s

HITACHI

CDR-7930

8X

6,8

163ms

1235ko/s

MITSUMI

FX-120T

12X

8

140ms

1843ko/s

NEC

Multispin 8XE

8X

8,7

157ms

1267ko/s

PIONEER

DRA-12X

12X

9,8

118ms

1889ko/s

PIONEER

DRA-10X

10X

9,1

127ms

1579ko/s

PLEXTOR

8Plex

8X

7,6

145ms

1198ko/s

PLEXTOR

12Plex TS

12X

8,9

124ms

1848ko/s

SANYO

CDR A-43

4X

4,1

273ms

616ko/s

SONY

CSD-88E

8X

7,1

165ms

1234ko/s

TOSHIBA

XM-5602B

8X

7,4

146ms

1235ko/s

G.N.

 

 

 

Leaf DCD II Live et la maîtrise de la photo numérique

Scitex a profité de Photokina 96 pour présenter son nouveau boîtier photo numérique Leaf DCD II Live, doté de la prévisualisation d’images animées. Cette nouvelle possibilité permet de composer, de focaliser et de régler l’éclairage avec plus de précision qu’avec un viseur standard. Elle permet aussi de travailler de manière plus dynamique en visualisant instantanément les modifications apportées à la scène et à l’éclairage. La vidéo animée atteint une cadence de quatre images à la seconde et intègre une fonction de loupe qui fournit une image nette et facile à régler lors de la mise au point. La nouvelle technologie développée par Leaf fait appel à un obturateur à cristaux liquides pour le contrôle de l’exposition vidéo. Les changements d’exposition sont compensés automatiquement lorsque le photographe déplace sa source d’éclairage, contrôle sa profondeur de champs ou modifie le f-stop. Le boîtier DCB II Live est équipé de la nouvelle version 3.5 du logiciel qui intègre à présent une palette performante d’outils de gestion des courbes tonales. L’application comprend également un outil de fusion de fichiers qui libère l’utilisateur des opérations longues de fusion de fichiers numériques. Pour créer une photo à deux prises de vue, il suffit de sélectionner les deux images à fusionner. Le logiciel fait le reste.

Leaf fournit aussi des nouveaux utilitaires qui permettent d’écourter la conversion des fichiers HDR. Il est ainsi

possible de capturer directement les fichiers Leaf HDR dans Photoshop ou d’utiliser un utilitaire autonome pour convertir un fichier HDR en 24 bits.

H.M.

Transfert de fichiers par infrarouge

AB Soft propose aux utilisateurs de portable muni d’un port infrarouge, TranXit Pro, une solution pour transférer, synchroniser et imprimer des fichiers par infrarouge. Le kit de connexion est constitué d’un récepteur infrarouge se connectant sur le port série de l’autre PC (le PC de bureau par exemple ou un PC relié à un réseau local) et d’un logiciel à installer sur les deux machines à relier. Parmi les caractéristiques techniques, on remarque: gestion de fichiers puissante (déplacement, copie, suppression et création de fichiers ou de répertoires par le biais d’une seule touche), synchronisation de fichiers automatique (par exemple pour rendre identique tous les fichiers de données entre le portable et l’ordinateur de bureau), tableau de bord virtuel permettant aux utilisateurs de Windows de transférer des données directement entre les PC à l’aide du copier/coller, transfert de fichiers Delta (amélioration des performances en envoyant seulement les modifications intervenues sur les fichiers), impression sans fil (accès sans fil aux imprimantes de l’ordinateur de bureau et du réseau), compatibilité Windows 3x, 95, NT et OS/2, fonctionnement en tâche de fond... Le prix de TranXit Pro est de 890 FHT.

H.M.

 

Une solution de sauvegarde très économique

 

On oublie souvent la sauvegarde sur bande, mais certainement pas SEAGATE avec son nouveau Tapestor 3200, il a été complètement " relooké ", le design est beaucoup plus attrayant, et surtout son prix très attractif, il ne coûte que 1300F ttc, chaque cartouche ne vaut que 200F ttc et peut stocker jusqu’à 3.2 Go de données compressées.

G.N.

 

Le laser à la portée de tous

 

Si vous n’utilisez l’imprimante que pour sortir des documents en noir et blanc, optez pour une imprimante laser, la LBP-465. Elle peut à long terme être beaucoup plus économique que le jet d’encre. Par rapport à l’ancienne version, la LBP-460, sa qualité d’impression est meilleure grâce à une résolution de 600*600 points par pouce. La LBP-460 peut imprimer jusqu’à 4 pages par minute. Son prix défie toute concurrence: 2200F ttc.

G.N.

LE CLAVIER SURVIVRA-T-IL A L’ENTREE VOCALE ?

 

De nos jours, on voit apparaître de nombreux claviers soi-disant révolutionnaires sur le plan ergonomique, mais qui finissent par décevoir une fois sur le marché.

Ce n’est certes pas toujours la qualité du produit qui est en cause, il est souvent plus efficace du point de vue facilité et vitesse de frappe. Le problème se situe au niveau de la disposition des touches. En fait, les claviers modernes ont hérité de la disposition anti-ergonomique des machines à écrire d’autrefois. Une tentative pour changer les habitudes en modifiant cette disposition n’aurait aucune chance d’aboutir. Ceux qui ont eu a se battre avec un clavier Azerty alors qu’ils avaient débuté sur un clavier Qwerty connaissent des difficultés à travailler avec un clavier dont seules quelques touches ont été déplacées.

Certes, le design d’un clavier d’ordinateur a beaucoup évolué depuis celui des Underwood et autres machines à boule. Mais cette évolution s’est produite de façon minimale: apparition de nouvelles touches (‘‘pomme’’ pour Apple et ‘‘Windows’’ pour Microsoft), clavier coupé en deux (toujours Microsoft), arrivée des ‘‘trackball’’ et autres ‘‘touchpad’’... Cependant, on y conserve soigneusement, au millimètre près, la disposition et la taille des touches alphanumériques.

La seule véritable alternative au clavier réside en fait dans l’entrée vocale. En effet, trois produits de dictée vocale dignes de ce nom apparaîtront prochainement sur les étagères des revendeurs. L’un d’eux est un produit IBM qui consiste en une intégration, en standard, d’une interface vocale dans OS/2.

La communication homme-machine comporte en réalité deux types d’informations tout à fait distinctes: les commandes et les données (du texte pour l’essentiel). Le ‘‘Wimp’’ (Windows Icons Mouse Pulldown Menus), désormais aisément généralisable, offre une efficacité et un confort à priori largement suffisants pour le premier. Malheureusement, pour le second, la reconnaissance vocale reste encore un peu légère. Malgré des progrès remarquables, tant dans les algorithmes que dans l’utilisation de la puissance décuplée des processeurs, elle en est encore au niveau de l’OCR d’il y a au moins cinq ans: apprentissage indispensable, bonne qualité de la source (prononciation et séparation claire entre les mots, environnement sonore non pollué), taux de non-reconnaissance

encore élevé. Sans compter les problèmes grammaticaux, qui ne concernent pas l’OCR mais qui sont ici essentiels pour la pertinence du résultat. Or, un taux de reconnaissance qui se traduit par moins de 99% de caractères corrects est insupportable, tant le travail de correction devient lourd et par conséquent inacceptable.

Allons, les claviers pleins de touches anti-ergonomiques ont encore de beaux jours devant eux...

H.M.

LECTEUR Multi Plugger

 

Le Multi Plugger de Computer Connections est une mécanique de cartouche amovible de 2.5 pouces particulièrement rapide. Compact, il se connecte sur le port parallèle ou l’interface PCMCIA des PC. L’alimentation est fournie par la sortie clavier ou souris. La mécanique offre une capacité illimitée sur des micro-disques durs amovibles de 170 ou 210 Mo, de la taille d’une carte de crédit. Les disques amovibles ont la même technologie qu’un disque dur interne, permettant des performances égales à celui-ci (copie de 100 Mo en trois minutes). Le Multi Plugger fonctionne sous DOS, Windows 95 et NT ainsi que sous OS/2. Son prix est de 2990 FHT avec une cartouche. Une version interne est aussi disponible incluant un lecteur de disquette 3.5 de 1.44 Mo ainsi qu’une mécanique Multi Plugger 210 Mo SCSI 2.

H.M.

LOGICIEL

 

 

 

C’est quoi un shareware?

 

Qu’est ce qui est pratique et pas cher? Réponse: un shareware. Ils savent tout faire: décompresser, chasser les virus, et même nous divertir, ils sont parfois aussi réputés que les logiciels du commerce, alors pourquoi coûtent-ils rarement plus de trois francs six sous? La raison en est très simple, tout d’abord il n’y a pas une armée de développeurs salariés derrière l’auteur, celui-ci travaille en général après le boulot, et surtout le fait par plaisir, son but n’est pas de s’enrichir. Lorsqu’un logiciel rapporte un peu d’argent, il le réinvestit aussitôt dans un autre projet. La récompense est ailleurs, le succès d’un shareware permet souvent à son auteur de se faire connaître, de se faire une petite place sur le marché informatique. Gilles Vollant, l’auteur de Winimage, un logiciel de gestion d’image, s’est forgé une réputation et est devenu développeur chez Alsoft grâce à son logiciel. Il reconnaît que son objectif originel n’était pas de se faire un maximum d’argent avec Winimage, ce n’est que deux ans plus tard que le logiciel a commencé à lui rapporter de l’argent. Il existe donc un " esprit shareware " complètement différent de celui du software classique, dont l’élément moteur est la passion.

De plus, la distribution ne tient pas une place prépondérante, elle se fait essentiellement par l’intermédiaire de magazines, de point de distributions qui prennent un faible pourcentage sur le prix de vente, et récemment par Internet. Tandis que pour le soft classique, les intermédiaires prennent 20 à 80% du prix de vente du logiciel, car il faut bien stocker, expédier, distribuer le produit, et surtout faire de la publicité. Celle du shareware se fait de façon totalement différente, elle se résume en quatre mots: le bouche à oreille.

Le shareware a encore un bel avenir devant lui, des succès tels que DOOM ont permis à ses auteurs d’être aujourd’hui multimillionnaire, de quoi susciter bien des vocations.

G.N.

JAVA pour un prix d’excellence ...

 

Java est un langage de programmation développé par Sun et particulièrement dédié à Internet ou Intranet. Il est doté de fonctionnalité aussi puissante que l’accès aux bases de données, la représentation graphique ou le traitement d’objets. Ainsi toutes les applications d’une entreprise peuvent être écrites en Java.

Java a reçu le Software d’Excellence Award 1996 dans la catégorie Outils et Langages. Ce prix remis à Sun par le groupe de presse Ziff Davis Europe est le résultat du vote des experts en logiciel des publications (PC Expert, PC Professionnel, PC Magazine, Computer Life et Pi@net). Maintenant, place à quelques chiffres:

F.L.

Reconnaissez vos CD ROM

 

Vous qui disposez d’un joli graveur de CD ROM, comment faites-vous pour différencier vos productions? Avouez-le, vous avez du mal. Et c’est normal, étant donné qu’il n’y a rien qui ressemble plus à un CR ROM enregistrable qu’un autre CD ROM enregistrable.

Ce problème est maintenant résolu par la société Avery qui propose, pour 250F TTC, un kit comprenant 50 étiquettes à coller sur la face supérieure de vos CD, et une version bridée de Labelpro vous permettant de les éditer. Vous n’avez plus qu’à vous appliquer...

O.L.

H T M L

 

La suite, enfin.... Après une simple mise en bouche le mois dernier, voici craiment de quoi se mettre sous la dent.

1. Les entêtes :

Il existe 6 catégories de titres, depuis H1 le plus grand, jusqu’à H6 le plus petit. Ce sont là aussi des attributs persistants, donc ne pas oublier le bloc de terminaison :

<H1></H1>

<H2></H2>

<H3></H3>

<H4></H4>

<H5></H5>

<H6></H6>

2. Format général

Le format général représente les commandes les plus communes pour la mise en page du document.

Le titre du document, comme déjà vu plus haut, fait parti du format général, les deux commandes spécifient le titre à afficher sur la barre de statut de la fenêtre active. Commande : <TITLE>...</TITLE>

Pour séparer les blocs de caractères, il est souvent utile de laisser quelques lignes, et un séparateur, cette commande existe et c’est <HR>, qui trace une ligne horizontale (Horizontal Line), c’est un attribut local (ce n’est pas la peine de le désactiver) : <HR> .

De la même façon, comme mentionné plus haut, le texte ne fait pas de retour à la ligne automatique, seulement quand un <P> (new Paragraph) est présent. Il existe aussi une commande <BR>,(line Break) qui coupe la ligne de texte et va à la ligne. Pour finir dans le général, il faut citer 3 commandes de style:

<pre>...</pre> : texte préformatté.

<listing>...</listing> : style listing, fonte appropriée.

<blockquote>...</blockquote> : citation, à la ligne et centré.

Par ailleurs, pour écrire en bon français, il faut tenir compte que les fichiers http sont sur 7 bits, et donc il faut coder les caractères nationaux:

&Egrave; pour É

&egrave; pour é

&Ccedil; pour ç .....

pour en savoir plus, lire http://web/urec.fr/docs/WWW/ISOlat1.html

3.Styles logiques

C’est une suite de commandes qui agiront sur l’affichage du texte concerné, comme par exemple la taille, le style ... En général, ce sont des styles les plus représentatifs du style de texte à afficher :

<em>...</em> : Emphase, insiste sur le texte concerné.

<strong>...</strong> : Emphase plus forte sur le texte.

<code>...</code> : Affiche une commande HTML.

<samp>...</samp> : Affiche en style sortie texte sous DOS.

<kbd>...</kbd> : Affiche une touche clavier.

<var>...</var> : Définit une variable (à affichage).

<dfn>...</dfn> : Affiche une définition.

<cite>...</cite> : Affiche une citation.

Tous ces styles n’apparaissent pas différemment sur tous les NetBrowser, celui que j’utilise, Netscape, traite notamment samp et kbd de la même façon. L’intérêt est bien sûr la grande practicité de ces styles, mettant en relief de nombreux aspects.

4. Styles physiques

Les attributs sur le texte sont ceux d’un traitement de texte normal : gras (bold, lettre b), italique (italic, lettre i), souligné (underligned, lettre u). Pour l’instant seule la fonte par défaut est utilisable mais on envisage déjà de télécharger les fontes. Voici déjà les commandes sur le texte:

<b> </b>

<i> </i>

<u> </u>

On peut bien sur additionner ces attributs :

<b>Bonjour<i> le <u> monde </u></i></b>

Un quatrième style de caractère existe, <tt> qui affiche une fonte qui simule des caractères de machine à écrire (TypeWriter Style).

5. Listes

Des commandes de liste existent et permettent d’organiser différents points, accompagnés de retraits, ainsi que de les numéroter.

Il existe deux types de listes, les listes ordonnées (Ordered Lists) <ol> qui pour chaque objet dans le bloc <ol>...</ol> désigné par <li>, objet de liste, donne un numéro (1, 2...), et impose un retrait, et les listes non ordonnées, (Unordered Lists) <ul>, qui dans le bloc <ul>..</ul> met une puce avec un retrait du bord, pour chaque objet de la liste <li>.

Par exemple:

<ol>Voici 3 choix<p><li>lire ce texte<p><li>ne pas lire ce texte<p><li>changer de cravate</ol>

cela donne :

Il existe aussi une commande pour afficher un menu, c'est <menu>...</menu>. En voici un exemple:

<menu>au menu ce soir<p><li>carottes rapées<li>boeuf en daube avec garniture<li>iles flottantes</menu>

Pour des listes courtes (moins de 20 caractères), il existe une commande de répertoire, appelée <dir> :

ex:

<DIR>

<LI>A-H<LI>I-M

<LI>M-R<LI>S-Z

</DIR>

Des commandes existent aussi pour donner des définitions, encadrées par <d l> et </dl>,<dt> désigne le terme à définir, et <dl> sa définition. La définition sera mise en retrait, à moins que l’on ait spécifié <dl compact> qui les mettra à la suite.

ex:

<DL>

<DT>Termes<DD>Ceci est la définition du premier terme.

<DT>Term<DD>Ceci est la définition du deuxiΦme terme.

</DL>

(à suivre...) E.P.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est ici que nos chemins se séparent chers lecteurs.... Du moins jusqu’au mois prochain! En attendant, j’ai cru comprendre que certaines personnes avaient des comptes à régler (et à rendre!). Donc au lieu de vos habituels rendez-vous, je cède ma place....

 

Rubrique : boulette !

 

Selon certaines personnes (elles se reconnaîtront ...) j’aurais commis dans le dernier numéro de ce journal, une erreur... que personnellement j’appellerais: "  imprécision qui pourrait à court terme induire nos chers lecteurs en erreur " ... !! Bref, une boulette, d’où le nom de la rubrique.

En effet, dans l’article " génération imprimantes couleurs à jet d’encre ", j’avais écrit : " Chaque nuance de couleur est reproduite par la combinaison des trois couleurs primaires, même le noir... ". Cette malheureuse phrase ne s’applique qu’aux imprimantes dont les tête d’impression sont trichromes. Pour les têtes quadrichromes, on doit ajouter une quatrième cartouche de couleur noire, un noir parfait cette fois-ci!

Voilà, je pense avoir fait mon mea culpa. Mais en fait, j’ai été ravie d’avoir pu m’expliquer. Ça prouve au moins qu’on lit mes articles...

F.L.

 

Rédaction :

Fanny Lek

Olivier Lantran

Hakim Majhoub

Gilbert N’Guyen Van Diep

 

Publicité :

Fanny Lek

Gilbert N’Guyen Van Diep

 

Marketing :

Hakim Majhoub

Olivier Lantran

 

Maquette :

Olivier Lantran

 

Ont participé à ce n°:

Marc-Aurèle Darche

Emmanuel Pierre